Il y a les bons jours... et les jours où le karma frappe à votre porte - ft. Amber Browning

Il y a les bons jours... et les jours
où le karma frappe à votre porte
Aleyxis C. Tyler et Amber Browning

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Nous étions samedi. Lorsque Aleyxis avait ouvert les yeux ce matin, il avait poussé un gros soupir de satisfaction. Le week-end, enfin le week-end. Enfin, ça ne lui empechait pas de travailler le soir même, et aussi le lendemain, mais bon aujourd'hui son samedi était une matinée et une après-midi libres comme l'air, alors il se dit qu'il allait en profiter, et plus vite que ça, car à dix-huit heures il avait un rendez-vous d'affaires. Il ne se rappellait même plus quel en était le but, il faurdrait qu'il rapelle sa secrétaire, Tally, pour s'en informer. Il se voyait mal se pointer à son propre rendez-vous, comme une fleur en demandant de quoi ils allaient bien pouvoir discuter.
Bref, il n'avait pas de temps à rêvasser, puisqu'il était onze heures et qu'il avait déjà gaspiller sa matinée. Il se leva rapidement, alluma sa chaîne hi-fi pour se motiver un peu, puis entra dans sa salle de bain. Il se doucha rapidement, sur une musique de Maroon 5.
It makes you burn to learn
You're not the only one
I'd let you be if you
put down your blazing gun
Now you’ve gone somewhere else
Far away
I don’t know if I will find you
(...)
And if I never see your face again
I don’t mind
‘Cause we gone much further than
I thought we'd get tonight
Une fois parfaitement seché, habillé, parfumé de son fameux Hugo Boss, et coiffé, il put enfin sortir. Le jeune homme s'était vêtu d'une manière assez décontracté; tee-shirt blanc, veste noire, et pantalon d'une couleur sur lequel il ne pouvait pas mettre de nom. Prenant son internel Blackberry dans sa poche, et quelques billets comme toujours, il sortit de sa maison en vitesse.
Dehors, il faisait bon, pas encore très chaud, mais pas froid non plus, n'oublions pas que nous étions à L.a tout de même. Le grand brun soupira d'aise, et laissa ses pas le mener quelque part. Le soleil commençait à monter de plus en plus haut dans le ciel, et la chaleur s'emplifiait à chaque minute. Quelques temps plus tard, il se dirigeait vers le parc de Griffith. C'était un bel endroit, rempli de vert, et avec un grand grand lac en plein milieu. Le jeune homme ferma les yeux instants, laissa le soleil taper sur son visage. Il heurta alors quelqu'un. Déconcerté, il ouvrit les yeux.
Bien sur, il ne s'excusa pas, ce n'était pas dans sa nature, mais vu que c'était un peu de sa faute, il ne fit pas de reproches. Après quelques instants d'observation, il se dit qu'il avait déjà vu cette jeune-femme. Brune, les cheveux courts, et de grands yeux bleus, vifs. Il avait soit passé une nuit avec elle, soit il avait travaillé avec elle.

- Il me semble que l'on se connait, fit-il en lui lançant un sourire plein de charme. Je ne me trompe pas, n'est-ce pas ? Je ne me trompes jamais.

hs: désolé pour ce post ridicule mais pas d'inspiration --"

Il était encore très tôt, huit heure du matin pour être plus précise. Amber avait été réveillé à cause d'un appelle. S'était sa patronne, elle voulait avoir quelques informations sur l'une des mannequins qui travaillait à l'agence. Bien sur le cou de file fut très bref, et la jeune femme n'arriva pas à se rendormir après ça. Il était temps pour elle de vraiment se lever. Elle sortit de son lit, et se dirigea vers la cuisine. Elle se servit un grand verre de chocolat chaud et s'installa sur son canapé, alluma la télé, et se me à la regarder tout en dormant. En effet s'était pas toujours très facile les matins pour la brunette. Elle qui aime bien rester au lit toute la matinée, n'a plus vraiment l'occasion de le faire depuis qu'elle a emménagé à L.A. Après avoir finit son grand chocolat, elle alla prendre une douche, s'était le seul moyen de bien la réveiller. Bizarrement elle resta environ vingt minutes dans la douche. Une serviette autour d'elle et une autre dans les cheveux, elle rejoignit sa chambre à la recherche de quoi se vêtir. Dans sa chambre il y avait un grand placard, où l'organisation régnait. Dans chaque compartiments était classé, des vêtements par catégories de couleurs. Elle opta pour prendre une petite robe d'été couleur beige, et des tropéziennes qui s'accordait parfaitement avec sa robe. Elle retourna dans sa salle de bain et s'habilla. La serviette qui était encore sur sa tête été un peu plus que mouillée, elle ne faisait de tomber sur le visage de la jeune demoiselle. Amber l'enleva, se regarda dans le grand miroir qui était collé au mur, sous les deux lavabos. Elle pris une grosse qui était soigneusement bien rangée sur une étagère, et se peigna soigneusement ses cheveux courts. Ses cheveux avaient pour habitude de bouclés très rapidement, c'est ce qui fut le cas. En voyant la tête que ça lui faisait, elle poussa un petit cris très long, que son petit chien Post-it pris peur et se mis a aboyer dans toute la maison. Post-it est un petit bulldog Français de couleur noir, marron et il porte une tache noir du museau jusqu'au vendre. Amber l'avait eu en tant que cadeau quand elle emménagea aux Etats Unis. Avoir un chien était tout à fait ce qui lui fallait, une parfaite compagnie. Avec lui elle ne pouvait pas s'ennuyer. Cette petite bête est une boule d'énergie. Rien ne l'arrête. Le chien sauta sur sa maîtresse pour lui faire un câlin digne de réconfortement. Après être content de se qu'il venait de faire, il repartit en courant dans la chambre où était installé une petite corbeille. La jeune femme put retourner à ses préoccupation. Elle tira un tiroir et souleva un grand sèche cheveux. Le brancha et se les sécha correctement. Mais ils n'étaient toujours pas digne d'une Amber Browning, il fallait encore les lisser et tout serai parfait. Elle mis entre vingt et trente minutes pour se les lisser comme elle le voulait. La perfection était demander. A présent il ne lui restait plus cas se coiffer et le tour serai joué. Amber possédait un énorme trousse de maquillage qui était remplie, la plus part de ses maquillages avaient été offerts par des amis qui travaillaient dans les produits cosmétiques. Elle se maquilla les yeux, et se mit du glosse.

Enfin elle était prête, il était près de dix heure et demi. Le temps était encore favorable comme pratiquement tous les jours. Il y avait un beau soleil, et il y avait un petit courant d'air frais qui passait par moment. Amber avait eu l'idée d'aller promener son chien. Cela faisait un moment qu'il n'avait pas fait une balade donc le griffith parck. Cette journée semble être parfaite pour sortir. La jeune femme alla chercher la laisse du petit chien. quand celui là vit ce que sa jeune maîtresse tenait dans les mains, il se mit dans un état pas possible. Il courrait partout. La brunette pris son sac à main et attacha Post-it à la laisse, et sortit en direction du parc. La plus part des gens étaient partis s'allonger sur les herbes ou sur le sable brulant pour pouvoir bronzer en toute tranquillité, ça ne semble pas vraiment les déranger d'être serrer. Ils étaient tous entrain de dormir sous leurs lunettes de soleil. Amber marchait sur les petits chemins en regardant un peu partout autour d'elle. Puis un homme lui rentra dedans. Celui la ne s'excusa pas, ce qui choqua un peu la demoiselle.

A.

-Malheureusement oui. C'est gentil de me demander si je n'ai pas mal!

Après avoir bousculé quelqu'un, Aleyxis était un peu secoué. Il rouvrit ses yeux calmement, et tâta rapidement ses poches pour voir qu'il n'avait pas fait tomber son argent ni, par grand malheur, son Blackberry. Ce dernier n'avait pas bougé de sa poche, et heureusement, car s'il avait eu un quelconque problème qui l'aurait empeché de fonctionner, Aleyxis aurait été mal. Sa secrètaire essayerait de l'appeler au moins 15 fois, comme toujours, et sans réponse elle tomberait surement dans une crise nerveuse, qui lui coûterait la vie.
Bref, il n'avait aucune intention de s'excuser, bien sur, Aleyxis Tyler n'était jamais en tord, il ne devait d'excuses à personne. Ce n'était pas entièrement sa faute après tout, elle ne devait pas vraiment regarder devant elle non plus, sinon elle aurait vu le jeune homme.

-Il me semble que l'on se connait. Je ne me trompe pas, n'est-ce pas ? Je ne me trompe jamais.

Aleyxis lui avait poliement souri, attendant sa réponse, mais la jeune femme ne lui rendit pas son sourire. Elle lui renvoya un regard des plus noirs, ses doigts se serraient fort autours de la laisse de son chien -enfin sa boule de poil surexcitée qui courrait dans tous les sens et qui bavait partout. Aleyxis avait une sainte horreur des chiens. En plus, les plus petits étaient bien souvent les plus teigneux. Il fit un petit pas en arrière, s'éloignant un peu du chien et toisant un peu plus la jeune femme, qui avait les souricls froncés au dessus de ses grands yeux. Elle s'éclaircit la gorge et lui répondit, d'une voix acerbe:

-Malheureusement oui. C'est gentil de me demander si je n'ai pas mal !

Le jeune homme ouvrit de gros yeux interloqués. La jeune femme connaissait, soit disant le jeune, et elle lui parlait ainsi ? Alors, elle le connaissait très mal. Parmi les deux options qu'ils s'étaient proposés (plan d'un soir ou rencontrer du travail), la deuxième solution ne pouvait être la bonne, car les gens du milieu était assez hypocrite pour vous parlez d'une manière très polie dans votre dos, mais pas en face de vous. Le "malheureusement" ne le choquait pas non plus, car c'était vrai qu'Aleyxis n'avait pas un caractère facile, alors il pouvait accepter cette remarque.
Donc c'était une fille avec qui il avait flirté. Cela réduisait donc ses choix.
Il se concentra très fort, l'observant discrètement, pour se rappeller de ce qui elle était. Et l'effort ne fut pas vain. Son nom c'était Amber, il s'en souvenait maintenant. Mais qu'est-ce qu'elle avait à être si teigneuse ? Si elle s'était levé du pied gauche ce matin, Aleyxis s'en contre-fichait elle n'avait pas à parler au grand monsieur Tyler de cette manière !

- C'est tout moi ça, je suis extremement gentil, c'est bien connu. En plus, je t'ai à peine bousculé ! répondit-il, presque revêche qu'elle. Tu t'es cassé un ongle peut-être, c'est pour ça que tu t'énerves de cette manière ?

Il lui lança un sourire ironique, et assez mauvais il faut le dire. Si la jeune femme cherchait un conflit avec lui, Aleyx n'allait pas se faire prier !
Il ne se demanda même pas pourquoi elle était de si mauvaise humeur contre lui, il attribua seulement ça au fait qu'elle était un peu maboule dans sa tête. Décidemment, il devrait réfléchir un peu plus avant de traîner avec une femme dans ce genre. Toutes les femmes belles ne sont pas forcément saine d'esprit apparement.

A

Bien sur il n'avait pas changé, toujours pareil. Franchement y en à que l'on ne devrai ne jamais rencontrer. Et Aleyxis, était une de ces personnes qui Amber aurait jamais voulu connaître. Mais les choses furent différente. Remarque cela appris à la jeune femme de se méfier de tout le monde. On ne peut se fier à personne, tout le monde à une facette mystérieuse en soit. Elle savait que cet homme n'était pas comme les autres, elle le savait qu'il aimait bien jouer avec les filles. Mais elle ne voulait pas l'entendre de cet oreille, pour elle il était naturellement gentil avec elle. Le revoir comme ça, se fut un choque. La jeune femme avait tout fait pour l'oublier, et il survient comme ça, sans rien dire et faisant comme si de rien ne s'était passé. S'en était trop pour elle. Elle veut bien qu'on oubli le passer, mais de là à ne pas en parler c'est se moquer de la sorte.

- Tu m'as à peine bousculé? Alors ça c'est la meilleure! Si tu m'as à peine bousculé, la moindre des choses serait de s'excuser, à moins que cela ne fasse pas parti de ton vocabulaire. Non c'est bon merci de t'en soucier. Non c'est le faite que l'on me bouscule et qu'on le fasse comme si de rien ne s'était passé. Remarque c'est dans tes habitudes

Amber se foutait qu'on la population qui était autour d'eux s'arrêter pour les regarder. A force on s'y habituait il faut dire. Tout le monde aimait être au courant de ce qui se passe autour d'eux. Tous irrécupérables, on dirai des paparazzis. Ils sont là quand il faut pas et ne vous lâche pas d'une semelle. La jeune femme n'aime pas vraiment se donner en spectacle, elle fouilla dans son sac de quoi se mettre sur le nez. Bon ça n'allait pas franchement la cacher mais on aurai un peu plus de mal à deviner qui était derrière ces lunettes de soleils. Soudainement, une idée vint à la jeune Browning. Elle en avait plus que marre d'être prise par un jouer, et toutes femmes méritent d'avoir du respect. Prendre une petite revanche ne lui ferai pas de mal. Mais comment s'y prendre. Ca n'allait pas être vraiment facile. Le jeune homme à qui elle faisait face n'est pas dupe non plus. Elle devait trouver le moyen de le séduire, tout en étant indifférente. La chose n'allait pas être facile, mais il fallait bien qu'elle tente ça chance. Mais après ce qu'elle venait de lui dire son plan allait peut être tomber à l'eau. Ce n'est pas pour autant qu'elle allait tout laisser tomber.
Amber regarda du coin de l'œil ce qui se passait autour d'eux. LA masse de population qui était entrain de les regarder, était partit voir un peu plus loin. Une bande de jeune skateurs, descendaient la grande colline. Les cinq jeunes gens criaient, tous heureux de descendre à grande vitesse et de passer très vite juste devant des personnes qui marchaient tranquillement. Certains étaient là toujours sur le choc de ne pas les avoir vu arriver. D'autres criaient, et cracher tout ce qu'ils avaient sur le cœur. Les skateurs étaient presque arrivés sur la piste sur la quelle étaient arrêté nos deux jeunes " amis". Aleyxis et *Amber ne voyaient pas ce qui arrivaient. L'un des cinq garçons s'étaient pris un branche en plaine tête ce qui l'obligea de s'arrêter, voilà pourquoi il y avaient beaucoup de monde autour de lui. Ce n'est pas pour autant que c'est amis se sont arrêter. Ils fonçaient toujours en direction des deux jeunes gens qui parlaient sur le piste.

- Tu m'as à peine bousculé? Alors ça c'est la meilleure! Si tu m'as à peine bousculé, la moindre des choses serait de s'excuser, à moins que cela ne fasse pas parti de ton vocabulaire. Non c'est bon merci de t'en soucier. Non c'est le faite que l'on me bouscule et qu'on le fasse comme si de rien ne s'était passé. Remarque c'est dans tes habitudes

- Pourquoi je devrais m'excuser, si tu n'as rien de cassé ? Il n'y a pas mort d'homme. Tu n'as qu'à t'excuser, toi, si tu tiens vraiment à entendre des excuses !

- Qu'est-ce qui est dans mes habitudes ? Tu sais rien de moi, petite. Pourquoi tu râles j'ai oublié de te rappeller, c'est ça ?

bousculer

"maintenant que je t'ai sauvé la vie, tu vas arrêter de me saouler hein petite ?"